Avant de passer la frontière nous nous sommes arrêtés 2 jours à Alexandroupoli pour faire les dernières courses, voir certains détails avant de passer en Turquie. Notamment un petit détour par l’hôpital pour Marie à cause d'une cystite qui durait depuis une semaine: après plusieurs examens (radios, prise de sang et analyse d'urine) rien à signaler, un petit traitement lui a été prescrit, et tout cela gratuitement.
Donc le mercredi 22 avril nous arrivons en Turquie, nouveau pays, nouvelle monnaie et surtout nouvelle langue.
Après plus d'une semaine passés avec nos amis Steph et Guillaume nous nous séparons, à nouveau, le vendredi en prenant des chemins opposés.
Nous partons vers le Sud pour prendre le bateau pour Canakkale. Nous arrivons au port d'Eceabat et pas de chance c'est le centième anniversaire des héros de guerre donc tout est bloqué. Nous dormons alors sur place pour prendre le bateau le lendemain.
Nous remarquons que contrairement à la Grèce, les gens ne parlent pas beaucoup anglais donc la barrière de la langue risque d'être compliqué mais pas de panique nous avons acheté un lexique!
Suite au prochain épisode...
"Un voyage de 1 000 km commence toujours par un pas."
(Lao Tseu
(Lao Tseu
)
samedi 25 avril 2015
lundi 20 avril 2015
Presqu'île de Sithonia
Après un arrêt à la grotte de Petralona, où nous faisons connaissance avec l'Homme de Petralona, nous nous dirigeons vers la presqu'île de Sithonia, au Sud de Thessaloniki.
Nous faisons halte sur une plage paradisiaque où nous resterons une nuit.
Le lendemain nous repartons pour faire le tour de la presqu'île, nous trouvons alors un chemin de terre qui longe la plage dans un paysage très sauvage. Après quelques kilomètres, nous tombons sur un passage légèrement inondé à proximité de marécages, dans le doute nous décidons de passer sur le côté dans l'herbe. ERREUR! Nous sommes embourbés. Pas de panique, Théo sort les grilles mais aucun résultat, puis les chaînes, pareil, c'est la merde!
Plus on essaye de sortir plus le camion s'enfonce jusqu'au moment où le pont commence à toucher. Théo décide alors de marcher jusqu'à la dernière maison que nous avons croisé (parce que bien évidemment l'endroit est désert) qui est à environ 5 kilomètres. Pendant ce temps, Marie attend, avec Khira, en se faisant gentillement bouffer par les moustiques. Théo revient enfin, en voiture, avec un couple. Ils tentent de nous tracter avec leur pauvre voiture familiale: sans succès. L'homme appelle quelqu'un de la ville voisine. Nous attendons peu de temps avant de voir arriver un gros camion bène avec dedans une minuscule petite pelleteuse.
N'ayant guère d'espoir nous regardons la scène avec nervosité. Mais ce petit engin se révèle d'une grande efficacité et jouant avec sa pelle pour prendre appuie dans la terre, il arrive à sortir Mion-Mion sans trop d'encombre. OUF! Cela nous coûtera quand même 50 euros mais nous sommes soulagé de ne pas dormir avec les moustiques. Avant de se coucher épuisés nous prenons une bonne douche à la lueur de notre lampe torche car nous sommes couvert de boue.
Ainsi nous nous retrouvons sur une plage à Asprovalta, et nous en profitons pour voir un vétérinaire pour Khira qui lui préscrit quelques médicament pour son problème gastrique.
Après trois jours passés entre soleil et vétérinaire, nous allons ensemble au sources d'eau chaude d'Elefteron où nous jouissons des bains à 40°C.
Nous faisons maintenant route tous ensemble vers la Turquie.
Nous faisons halte sur une plage paradisiaque où nous resterons une nuit.
Le lendemain nous repartons pour faire le tour de la presqu'île, nous trouvons alors un chemin de terre qui longe la plage dans un paysage très sauvage. Après quelques kilomètres, nous tombons sur un passage légèrement inondé à proximité de marécages, dans le doute nous décidons de passer sur le côté dans l'herbe. ERREUR! Nous sommes embourbés. Pas de panique, Théo sort les grilles mais aucun résultat, puis les chaînes, pareil, c'est la merde!
Plus on essaye de sortir plus le camion s'enfonce jusqu'au moment où le pont commence à toucher. Théo décide alors de marcher jusqu'à la dernière maison que nous avons croisé (parce que bien évidemment l'endroit est désert) qui est à environ 5 kilomètres. Pendant ce temps, Marie attend, avec Khira, en se faisant gentillement bouffer par les moustiques. Théo revient enfin, en voiture, avec un couple. Ils tentent de nous tracter avec leur pauvre voiture familiale: sans succès. L'homme appelle quelqu'un de la ville voisine. Nous attendons peu de temps avant de voir arriver un gros camion bène avec dedans une minuscule petite pelleteuse.
N'ayant guère d'espoir nous regardons la scène avec nervosité. Mais ce petit engin se révèle d'une grande efficacité et jouant avec sa pelle pour prendre appuie dans la terre, il arrive à sortir Mion-Mion sans trop d'encombre. OUF! Cela nous coûtera quand même 50 euros mais nous sommes soulagé de ne pas dormir avec les moustiques. Avant de se coucher épuisés nous prenons une bonne douche à la lueur de notre lampe torche car nous sommes couvert de boue.
Retrouvailles
Le lendemain nous nous apercevons que Khira ne va pas très bien. En parallèle nous recevons un mail de nos amis français, rencontrés un mois plus tôt à Gythio. Ils ne sont pas très loin de nous et nous propose de se retrouver.
Ainsi nous nous retrouvons sur une plage à Asprovalta, et nous en profitons pour voir un vétérinaire pour Khira qui lui préscrit quelques médicament pour son problème gastrique.
Après trois jours passés entre soleil et vétérinaire, nous allons ensemble au sources d'eau chaude d'Elefteron où nous jouissons des bains à 40°C.
Nous faisons maintenant route tous ensemble vers la Turquie.
lundi 13 avril 2015
Les sources d'eau chaude d'Aridaia
Nous arrivons tant bien que mal à Loutraki Aridaia où se trouve, au creux de la montagne Kaïmaktsalan et à la frontière entre la Grèce et la République de Macédoine, des sources d'eau chaude à 37°C toute l'année.
Entre les balades au bord de la rivière et les baignades dans des petites piscine naturelles ou dans le bassin un peu plus aménagé et accessible pour 2 euros par personne, l'endroit est parfait pour se ressourcer.
Nous avons aussi rencontré la famille Lelievre avec Céline, Manu et leurs deux fille Louise et Léonie, qui voyagent aussi autour de l'Europe : voici leur blog.
Nous avons beaucoup sympatisé et échangé sur nos voyages réspectifs. Et surtout, n'oublions pas une partie de Molki qui redresse la côte des Strasbourgeois.
Nous y sommes resté 3 jours.
Entre les balades au bord de la rivière et les baignades dans des petites piscine naturelles ou dans le bassin un peu plus aménagé et accessible pour 2 euros par personne, l'endroit est parfait pour se ressourcer.
Nous avons aussi rencontré la famille Lelievre avec Céline, Manu et leurs deux fille Louise et Léonie, qui voyagent aussi autour de l'Europe : voici leur blog.
Nous avons beaucoup sympatisé et échangé sur nos voyages réspectifs. Et surtout, n'oublions pas une partie de Molki qui redresse la côte des Strasbourgeois.
Nous y sommes resté 3 jours.
vendredi 10 avril 2015
Meteora : entre ciel et terre
Nous avons passé deux jours à Meteora, qui, pour nous est un des sites les plus extraordinaire de Grèce.
Tout d'abord un peu d'histoire:
Au 15ème siècle il y avait alors 24 communautés qui occupaient ces rochers. Les nazis ont aussi occupé les lieux pendant la seconde guerre mondiale. Aujourd'hui il ne reste que 6 monastères: Agios Nikolaos (Saint-Nicolas), Agios Stefanos (Saint-Étienne), Aghia Triada (Sainte-Trinité), Grand Météore qui est le premier en taille,en ancienneté et plus complet en musée et explications, Rossanou et Varlaam.
Nous en avons visité 4 (ce qui est déjà pas si mal).
Nous recommandons vivement cet endroit à quiconque passe par la Grèce, c'est lieu magique et qui réserve pleins de belles surprises.
Tout d'abord un peu d'histoire:
Les rochers au sommet desquels les monastères sont construits, sont, d’après les écrits d'Anciens, des roches envoyées sur la terre par le ciel (d'où leur nom de « Météores »), pour permettre aux ascètes de se retirer et de prier.
Au 15ème siècle il y avait alors 24 communautés qui occupaient ces rochers. Les nazis ont aussi occupé les lieux pendant la seconde guerre mondiale. Aujourd'hui il ne reste que 6 monastères: Agios Nikolaos (Saint-Nicolas), Agios Stefanos (Saint-Étienne), Aghia Triada (Sainte-Trinité), Grand Météore qui est le premier en taille,en ancienneté et plus complet en musée et explications, Rossanou et Varlaam.
Nous en avons visité 4 (ce qui est déjà pas si mal).
Nous recommandons vivement cet endroit à quiconque passe par la Grèce, c'est lieu magique et qui réserve pleins de belles surprises.
Pour plus de photos n'hésitez pas à aller voir notre album photo.
mardi 7 avril 2015
Athènes
Avant de visiter Athènes nous faisons halte au sud d'Athènes, à coté de Vouliagmeni, sur une jolie petite plage.
Grâce à Khira et à son enthousiasme nous rencontrons Dimitri et Korina un couple Grec qui parlent très bien français et anglais et avec qui nous sympatisons. Nous discutons longuement jusqu'à passer la soirée ensemble au petit restaurant de la plage.
Nous avons encore appris de nouvelles chose sur la Grèce et nous les avons quitté avec de nouvelles idées de visites.
Le lendemain, direction le Cap Sounio et son magnifique temple de Poséidon.
Nous resterons 3 jours pour profiter du beau temps et de la chaleur.
Après s'être bien reposé nous nous dirigeons pour visiter Athènes. Nous goûtons, tout d'abord, aux joies des embouteillages de la Capitale, puis réussissons à trouver une place non loin de l'Acropolis (un des site touristique parmi les plus visité du monde).
Avec le beau temps il y a aussi énormément de monde, ce que nous n'apprécions pas beaucoup.
Nous réussissons tout de même à visiter l'Acropolis, puis à se balader dans le Jardin National (anciennement Royale) et enfin à voir l'immense Stadium.
Mais décidément les grosses villes ne sont pas faites pour nous et nous décidons de repartir vers des contrées plus sauvages.
Grâce à Khira et à son enthousiasme nous rencontrons Dimitri et Korina un couple Grec qui parlent très bien français et anglais et avec qui nous sympatisons. Nous discutons longuement jusqu'à passer la soirée ensemble au petit restaurant de la plage.
Nous avons encore appris de nouvelles chose sur la Grèce et nous les avons quitté avec de nouvelles idées de visites.
Le lendemain, direction le Cap Sounio et son magnifique temple de Poséidon.
Nous resterons 3 jours pour profiter du beau temps et de la chaleur.
Après s'être bien reposé nous nous dirigeons pour visiter Athènes. Nous goûtons, tout d'abord, aux joies des embouteillages de la Capitale, puis réussissons à trouver une place non loin de l'Acropolis (un des site touristique parmi les plus visité du monde).
Avec le beau temps il y a aussi énormément de monde, ce que nous n'apprécions pas beaucoup.
Nous réussissons tout de même à visiter l'Acropolis, puis à se balader dans le Jardin National (anciennement Royale) et enfin à voir l'immense Stadium.
Mais décidément les grosses villes ne sont pas faites pour nous et nous décidons de repartir vers des contrées plus sauvages.
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